pour bien comprendre

La compagnie d’un animal vous tente ?
Pourquoi pas ?
Mais avant de franchir le pas, il serait bon de vous demander pourquoi. Peut être Est-ce l’envie de répondre à un besoin affectif, celui de veiller sur quelque un qui a besoin de vous ou peut être Est-ce le bonheur de rentrer chez vous le soir et de retrouver une maison vivante et chaleureuse, ou encore la plaisir de parler à quelque un qui sait être une oreille attentive sans jamais vous interrompre. Il est vrai que l’on observe une augmentation vertigineuse du nombre d’amateurs d’animaux de compagnie, ou de « pet lover » comme les définissent les Anglais. Entre nous, qui n’a jamais ressenti le besoin, au moins une fois dans sa vie, de s’occuper d’un animal à quatre pattes, d’un poisson ou, pourquoi pas, d’un oiseau ?
Mais ce n’est pas tout, derrière ce succès grandissant se cache en effet une raison bien plus profonde. Nous vivons dans un monde artificiel dans lequel même nos relations avec les autres sont souvent biaisées. L’animal de compagnie répond alors à notre besoin d’authenticité et à l’appel de cette « nature » qui nous manque tellement et qu’ils représentent. Les animaux sont également très doués pour nous donner de vraies leçons de vie. Il suffit de prendre le temps de les observer pour comprendre que chacun d’eux, même le plus petit des poissons rouges,est capable de nous transmettre des émotions , mais aussi une forme de sérénité et d’harmonie. Toutes ces ( bonnes ) raisons ne dispensent pas pour autant de prendre le temps de bien réfléchir avant de franchir le pas. La toute première question que vous devez vous poser - en particulier si l’animal est destiné à un adolescent - est de savoir si vous vous sentez vraiment capable de bien vous occuper de votre « nouveau locataire », à savoir si vous pouvez répondre à ses besoins primaires mais aussi lui accorder une grande partie de votre espace et de votre temps. Ensuite, il vous faudra déterminer quel animal correspond le plus à votre façon de vivre. Cet pour cela que cette partie de post vous accompagnera dans votre choix, puisque je vous propose une description détaillé de chacun d’eux, leurs particularités, leurs caractères et leurs comportements, même les plus étranges, car c’est en apprenant à les connaître que vous saurez mieux les apprécier et que vous éviterez toute erreur de « casting ».

UN ANIMAL DE COMPAGNIE, QU’EST-CE QUE CELA IMPLIQUE ?
Il va de soi qu’à partir du moment où vous aurez un animal de compagnie, que ce soit un chien ou un poisson, vous devrez lui consacrer une partie de votre temps, de votre espace et également de votre argent. Mais ce n’est pas tout : vous devez également penser aux vacances que vous devrez programmer à l’avance, compte tenu que si vous ne l’emmenez pas avec vous, vous devez le remettre entre des mains sûres, autrement dit le confier à une personne fiable à cent pour cent.

CELA IMPLIQUE D’AVOIR DU TEMPS

Si par exemple vous optez pour un chien, vous devez certes jouer avec lui, mais également le promener trois ou quatre fois par jour, qu’il vente ou qu’il pleuve. Si vous optez pour un chat ou un petit rongeur, vous devrez jouer avec lui mais également changer sa litière ; si vous optez pour un oiseau, vous devez nettoyer sa cage tous les jours. Et si vous préférez les poissons rouges et les tortues d’eau, vous devez consacrer du temps à l »entretien de l’aquarium. Et n’allez pas croire qu’un reptile sera moins exigeant. Bien au contraire, le terrarium nécessite une surveillance constante pour vérifier que la lumière, la chaleur et l’humidité sont adaptées à leurs besoins.

CELA IMPLIQUE D’AVOIR DE LA PLACE

Naturellement ce critère en fonctionnel animal que vous aurez choisi. Quel que soit l’animal, vous devez impérativement l’intégrer dans votre vie de famille : surtout ne le laissez pas seul, dans une pièce isolée, dans le cellier par exemple, ou pire encore au sous-sol. Tous nos petits compagnons, quels qu’il soient, aiment sentir qu’ils font partie d’un « groupe ». Si un poisson, un petit oiseau ou un reptile peuvent se contenter d’un simple contact visuel avec vous, cela ne suffira pas aux autres animaux de compagnie. Les rongeurs ou les furets ont besoin d’un espace qui leur permet de nouer des relations avec la famille et d’explorer leur environnement pendant au moins un heure par jour. En ce qui consterne les chiens et les chats, ils impliquent plus de temps, plus de place et un investissement personnel accru.

CELA IMPLIQUE UN COÛT

Quel que soit l’animal que vous décidez d’ « adopter », cela implique forcément un coût pour les installer, les nourrir et pour tous les accessoires tels que les jouets la litière, la laisse le collier, la cage de transport, etc. vous devez également prévoir les visites chez le vétérinaire et les éventuels médicaments s’ils sont malades, les pensions pour accueillir lorsque vous partez en vacances. Autant dire qu’il s’agit là d’un critère très important qu’il ne faut pas prendre à la légère : quoi deplus absurde en effet que de prendre un animal et de se demander au mois d’août ce que l’on va bien pouvoir en faire. Vous allez devoir programmer chaque événement de votre vie et de celle de votre nouveau « locataire ».

QUEL ANIMAL CHOISIR ?

On le sait : les films et les téléfilms créent des phénomènes de mode autour de leurs personnages, qu'ils soient humains ou animaliers. Il existe cependant une différence de taille : la plupart du temps, le succès n'apporte que des problèmes aux animaux.
Les quelque centaines de chiens dalmatiens qui ont été adoptés puis adandonnés par des familles irresponsables qui croyaient rapporter chez elle l'un des "101 dalmatiens" en savent quelque chose. Et que dire des gens qui ramènent un rat dans leur famille, parce que les enfants sont tombés sous le charme de "Ratatouille" ? Et ceux qui ont adopté des petites tortues d'eau, aprés le succès des "ninja" et qui les ont abandonnées dans lepremier point d'eau, ont-ils pensé une seule seconde que ce geste allait bouleverser tout un écosystème ?
Cela dit, rien n'empêche d'opter pour un animal autre que le chien et le chat, encore faut-il se donner la peine d'aller au-delà des phénomènes de mode et de se pencher sur leur caractère, leur comportement et leurs besoins. Dans le cas contraire, mieu vaut renoncer : un animal ne devrait jamais être le caprice du moment.

QUEL ANIMAL EST FAIS POUR VOUS ?


Dès lors, il ne vous reste plus qu'à faire votre choix. Vous trouverez ci-aprés un large panorama des nouveaux compagnons que vous pouvez accueillir chez vous.

........... toute votre famille s'organise pour emmener le chien en balade ; si vous êtes célibataire, votre travail doit vous permettre d'être chez vous à des horaires fixes et réguliers. Les chiens sont en effet de gand routiniers; ils ont besoin de sortir plusieurs fois par jour ( on entend par "sortir" prendre le temps de se balader pouvoir courir, rencontrer des congénères, sentir son environnement ). Ils ont besoin également de manger à heure fixe. Si vous êtes en mesure de respecter toutes ces conditions, alors oui vous êtes fait pour avoir un chien.

Avantage : il est d'excellente compagnie.

Incovénient : il est trés exigeant.

ce test peut vous aidez a choisir votre chiot



Il y a plein de sortes de chiens. Des gros chiens, des petits chiens, des chiens lents, des chiens rapides, des chiens aux poils longs, des chiens aux poils courts.
Voici un petit guide pour vous aider à bien choisir votre futur compagnon à 4 pattes.
Etape n°1 : quels sont vos besoins ?
D'après les experts et les veterinaries, la plus importante question qu'il faut se poser est : pourquoi vous voulez un animal de compagnie.
Pour vous tenir compagnie ? Pour votre sécurité ? Pour la chasse ? Vivra-t-il avec vos enfants ? etc.
Etape n°2 : penser à l'endroit ou vous vivez et à l'espace que vous aurez à lui proposer.
Si vous avez un petit espace, optez pour un petit chien. Les grands chiens ont besoin d'un jardin et de temps à l’extérieur pour faire des exercices. Si votre travail vous contraint à être absent lontemps hors de chez vous, prenez un animal qui supporte la solitude.
Etape n°3 : Le budget.
Les gros chiens coûtent en général plus cher, car ils mangent plus, ils ont besoin d’un plus grand lit, d’une plus grande gamelle et les coûts de vétérinaires sont plus élevés.
Etape n°4 : la race, l’âge et le sexe.
Si vous cherchez un chien pour un besoin particulier comme la chasse, choisissez de préférence un chien pure race, il aura été élevé avec cette caractéristique à l’esprit.
Si vous désirez un chien pour la première fois, choisir un chiot plutôt qu’un adulte implique de votre part que vous passiez beaucoup de temps pour l’éduquer. Cependant, en choisissant un chiot, vous aurez un effet plus important sur sa personnalité qu’en commençant avec un chien adulte.
Etape n°5 : Créez un lien avec votre chien.
Vous devez entretenir une bonne relation avec votre toutou. Des friandises, un bon jouet en caoutchouc, des balades ludiques et beaucoup de calins feront l’affaire pour commencer.
Le test de Campbell, une façon de bien choisir son futur chien

Créé en 1975 par l'américain Campbell, un spécialiste de l'étude du comportement animal, ce test est un excellent moyen de choisir un chiot en fonction des attentes du maître. Ce test peut être pratiqué par l'éleveur ou par son futur acquéreur.
Le test de Campbell n'est pas à interpréter comme une vérité scientifique. Ils aide à déterminer les traits de caractères du chiot. Il aide à sélectionner un animal par rapport à la personnalité de son futur maître ou à sa futur utilisation (chien de garde, de défense ou de compagnie).
Attention toutefois, car l'éducation que votre futur chien va recevoir, ainsi que son mode de vie, modifira largement son comportement vis à vis de son maître et des autres chiens.
C'est pourquoi le test de Campbell est aussi à considérer comme un guide pour l'éducation du chien que l'on va choisir.
Voici donc les 5 exercices. Ils prennent peu de temps et sont faciles à interpréter. Une fois les exercices terminés, reportez vous aux résultats.

La sociabilité :
Placez le chiot au centre d'une zone prédéfinie. Eloignez vous de quelques métres, à l'opposé de l'endroit où vous êtes rentré. Accroupissez vous et essayez d'attirer le chiot en tappotant dans vos mains. Vous verrez alors s'il vient vers vous ou non, et, si oui, de constater s'il porte la queue en haut ou en bas. Cela vous permettra d'apprécier son sens social et de mieux évaluer sa nature, plus ou moins confiante, ou indépendante.
Notes sur son attitude :
Vient tout de suite, la queue bien haute, saute et mord : DD
Vient directement, la queue haute et donne la patte : D
Vient directement, la queue basse : S
Vient en hésitant, la queue basse : SS
Ne vient pas du tout : I
Comportement avec l'homme :
Debout, à côté du chiot, partez doucement en marchant normalement.
Ce test est pratiqué à la voix, vous évoluez dans le champ visuel du chien.
C'est la façon de voir si le chiot vous suivra. S'il ne vient pas du tout, c'est qu'il est très indépendant. Notes sur son attitude :
Il a envie de suivre. Il saute, donne la patte, mord et gronde : DD
Il suit directement, la queue haute, jusqu'à vos pieds : D
Il suit directement, la queue haute, jusqu'à vos pieds et saute : DD
Il suit directement, la queue basse : S
Il suit en hésitant, la queue basse : SS
Il s'en va et se tient à distance : I
Il ne suit pas et va de son côté : I
La dominance par contrainte :
Accroupissez-vous et couchez le chiot au sol, roulez le doucement sur le dos. maintenez le ainsi, une main posée sur sa poitrine, pendant 30 secondes. Le chiot peut se défendre férocement, crier, se débattre, mordre ou bien se calmer et vous lécher les mains. Sa réaction indique l'acceptation ou le refus de votre autorité, ainsi que ses réflexes. si il est agressif, il aura des réflexes actifs de défense, si il est lache ou peureux, il aura des réflexes passifs de défense. Notes sur son attitude :
Il se bat férocement, la queue battante : D
Il se bat férocement, la queue battante et vous mord : DD
Il se bat férocement puis il se calme : S
Il ne se débat pas, il lèche vos mains : SS
La dominance sociale :
Pour savoir si le chiot accepte votre domination, mettez le chien en position de sphinx et accroupissez-vous à côté de lui. Caressez-le doucement, pendant 30 secondes, du haut du crâne jusqu'au bas du dos. Un chiot très dominant essaiera de mordre, grognera ou vous sautera dessus. Le chiot indépendant se contentera de s'éloigner. Notes sur son attitude :
Il essaie de mordre, il grogne : DD
Il se débat beaucoup : D
Il se tortille et il vous lèche les mains : S
Il roule sur le dos et vous lèche les mains : SS
Il ne se débat pas et vous lèche les mains : SS
Il s'en va et se tient à distance de vous : I
Dominance par élèvation :
Soulevez le chiot doucement de manière à ce qu'il ne touche plus terre, vos deux mains sur la poitrine, pendant 30 secondes. Le chiot, qui n'a plus aucun contrôle, doit avoir confiance en vous et accepter votre domination. Vous observerez alors s'il s'accommode ou non de cette situation. Notes sur son attitude :
Il se débat férocement, mord et grogne : DD
Il se débat beaucoup : D
Il se débat puis se calme et vous lèche : S
Il ne se débat pas et lèche vos mains : SS
C'est la fin des exercices, caressez le chiot et félicitez-le.

Résultats :
Cochez l'attitude correspondante. A la fin du test, totalisez les différentes réponses de DD, D, SS, S et I.

Trois D ou plus : Le chiot est un dominant extraverti. Il a tendance à la domination loyale, à l'assurance. Ce chiot doit être élevé avec logique et douceur, mais avec fermeté. S'il est gâté, si on lui laisse faire ses caprices, il deviendra impossible. Il aura une grande aptitude au dressage, aux concours et au travail. Mais la présence auprès des enfants est déconseillée.
Trois S et plus : Le chiot est équilibré. Il est ni agressif, ni trop soumis, et peu susceptible. Ce chiot s'adaptera à tous les environnements. Il est idéal pour les enfants ou les personnes âgées.
Deux S ou plus, avec un ou plusieurs I : Le chiot est soumis. C'est à coup sûr un animal tendre, il est idéal pour les enfants. Il aura besoin de beaucoup d'affection et de compliments pour s'épanouir. Sensible aux remontrances, il peut également mordre par peur ou s'il est dans l'impossibilité de fuir.
Deux S avec un I dans le test de la Dominance sociale : Le chiot est mal socialisé. C'est un chiot aux réactions imprévisibles.
Si le test comporte également des DD ou des D sur la grille de résultats, Le chiot peut mal réagir aux remontrances et à la peur, et il vous attaquera.
Si le test comporte d'autres SS ou d'autres I, le plus léger bruit ou traumatisme peut le rendre peureux. Il réagira mal à la présence des enfants et sera difficile à éduquer.
Si le total est constitué de notes contradictoires, il y a lieu de recommencer le test ailleur. Si les mêmes réponses reviennent, c'est que le chiot est un cas particulier, au comportement changeant.

Si vous désirez affiner votre test sur le chiot, voici quelques exercices complémentaires :
Mettre le chiot avec des chiens adultes, calmes et équilibrés. S'il recherche le contact et se met en position de soumission en se couchant sur le dos, l'animal est bien dans sa peau et s'intègre dans la société canine. Il en sera de même au sein de la famille. Si, au contraire, il évite tout contact avec les autres chiens, des difficultés comportementales duent à la peur et à la timidité sont à prévoir.
Mettre le chiot dans un univers inconnu pour lui :
Le chiot extraverti crie, aboie et se promène. C'est une bonne réaction.
Le chiot timide reste sur place et tremble de peur.
Le chiot rampe modérément.
Le chiot indépendant flaire à droite et à gauche.
Le chiot soumis cherche une présence rassurante.
Les réactions du chiot face aux bruits comme les sifflets et les claquements de mains.
Le chiot devient agressive en grognant, ou il cherche à fuir.
Il cherche à se cacher dans un coin.
Il est indifférent ou curieux.
Il cherche une présence rassurante.
Il est prostré de peur.
Le miroir :
Consiste à placer le chiot, alors âgé de moins de 3 mois, devant une glace.
Si le chiot reste immobile, il est équilibré mais plutôt hardi et dominant.
Si il s'approche, puis recule, manifestant à la fois de l'intérêt et de la réserve, il est tendre et gentil.
Si il grogne ou s'enfuit, il est craintif et peu sociable.
Le jouet téléguidé :
Placez un jouet téléguidé devant le chiot, et faite fonctionner le jouet.
Si il saute dessus, le chiot est de nature plutôt agressive.
Si il l'ignore, c'est un indépendant.
Si il va se cacher, c'est un peureux.
Si il s'intéresse au jouet, tout en prenant soin de l'éviter quand celui-ci se dirige vers lui, c'est un chiot bien équilibré.






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.................vos horaires sont un peu élastiques, si vous avez des enfants en bas âge qui vous rendent moins disponibles, si vous êtes célibataire avec des horaires irréguliers, ou si vous avez un certain âge et ne désirez pas promener votre animal. C'est certain, le chat est sur ce plan moins exigeant que le chien. Il est plus autonome : une litière toujours propre, de la nourriture à disposition, de l'eau a volonté, quelque caresses, un arbre à chat pour grimper et se faire les griffes, et le tour est joué.